10/18, 1976
« Ou comment se sortir d’une poupée gonflable et de beaucoup d’autres ennuis encore ». L’auteur, un des grands humoristes anglais contemporains, a reçu le Grand prix de l’humour noir pour l’ensemble de son œuvre. Wilt, professeur de culture générale dans un lycée professionnel à Londres, ce qui justifierait à soi seul la crise de la quarantaine qu’il traverse, est affublé d’une femme trop énergique qui l’épuise. Voici le point de départ d’une aventure décoiffante où il sera question d’une poupée gonflable et d’envie de meurtre. C’est souvent très drôle, à la fois délirant, grossier et subtil. Je ne m’explique pas encore ce mystère, peut-être pourrez-vous m’éclairer ?
Isabelle
[…] toujours très juste. C’est pour cela que nous nous sommes régalées à la lecture des "Wilt". Il paraît même d’après une source autorisée (une de nos liseuses enseignante en […]
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Le rythme effréné du récit m’a tenu en haleine du début à la fin. J’ai lu ce roman d’une traite. L’humour féroce, 100% British de Tom Sharpe est irrésistible. Wilt 1 met en scène Henry Wilt, anti-héro, prof de culture générale dans un lycée technique à qui il arrive des aventures rocambolesques depuis qu’il a imaginé tuer sa femme. Ses péripéties donnent à Tom Sharpe la voix pour égratigner sérieusement le « politiquement correct » : le système éducatif, la police, le féminisme… Des pages savoureuses sur l’utilité d’enseigner la culture générale dans un lycée technique, la place du sexe chez les bobos.
Mordant, jubilatoire, ce livre est un antidépresseur puissant qui devrait être remboursé par la sécu !
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Peut-être est-ce parce qu’on ne peut imaginer qu’un écrivain nous surprenne autant ! J’ai beaucoup ri.
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